Le papillon a nécessairement vécu une étape de transformation unique.
Grâce à ses cellules imaginales, il passe d’abord de son état de chenille, vers une phase de décomposition complète dans sa chrysalide, pour finalement éclore en un être ailé. De mangeur de feuilles d’arbres, il en devient le pollinisateur.
Une métamorphose incroyable, physique et contributive que nous offre la nature.
Le papillon nous rappelle qu’une transformation complète est possible. Quelles seraient « nos cellules imaginales » nous permettant de vivre cette transition humaine ? Plutôt qu’une transformation physique, serait-elle à notre niveau de conscience ?
Comment enclencher cette métamorphose ?
Une question centrale inspirée du papillon est celle de notre contribution à ce monde.
A l’image du papillon, quelle serait cette nouvelle mission qui contribue à nos écosystèmes humains ? Plutôt que de consommer ou de consumer, il s’agit ici de contribuer.
Sachant l’importance de « l’effet papillon », quels battements d’ailes souhaitons-nous laisser à nos enfants et à cette terre ?
C’est ainsi que « nos cellules imaginales » ouvrirons notre conscience et nous permettront de laisser nos anciennes croyances liées à notre rôle suranné. Comme un vieil habit de travail qui ne sert plus et que l’on laisse de côté.
Tout ceci nous permettra de déployer nos ailes pour contribuer à la danse des papillons. Ne plus jamais laisser nos ailes au vestiaire parce que le monde a besoin de chacun de nous, dans notre singularité.
Belle transformation à vous !
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